"Mädchen, Mädchen, nimm es zurück, das rasche Wort, das törischte, das deinen Lippen entflohen - und kennst du es, dieses Elend, kennst du ihn, diesen Fluch ? Weisst du, wer dein Geliebter -- was er - ? - Siehst du mich nicht krampfhaft zusammenschaudern, und vor dir ein Geheimnis haben ?"
Sie wiederholte mit Eidschwur ihre Bitte.

"Si ton sort change, laisse-moi seulement te savoir heureux, je ne prétends point à toi. Si tu es malheureux, attache-moi à ton malheur que je t'aide à le supporter.
-Chère enfant, chère enfant, reprends-le, ce mot trop prompt, ce mot insensé, échappé de tes lèvres. Et le connais-tu ce malheur, la connais-tu, cette malédiction ? Sais-tu qui est ton bien-aimé..., ce que... ? Ne me vois-tu pas frémir convulsivement et te dissimuler un secret ?"
Elle cessa de sangloter, mais répéta la même prière.
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